Rien N’Est Plus Comme Avant.

Après cette fameuse nuit, rien ne redevint comme avant…
Alors que j’étais encore la maîtresse de maison, j’ai vu Marjana y prendre de plus en plus de confiance et de libertés, de plus en plus d’importance pour moi, et même dans ma vie… Dès le lendemain, elle m’avait réveillée avec un baiser très fougueux, que j’avais d’abord subi passivement avant d’y répondre de manière très passionnée. Elle contribua à l’étreinte en caressant mes seins en leur faisant découvrir la caresse la plus douce qu’ils aient jamais sentie.
Puis elle m’aide à m’asseoir sur le lit en me caressant la nuque, et le lobe de l’oreille en tenant un verre de jus d’orange bien glacé.
« Tu dois reprendre des forces, tu n’as rien pris depuis hier, à part… » elle me le fait boire avec fermeté et j’y découvre le même goût que ce que j’avais bu la veille… ça va t’aider à avoir de l’appétit ma chérie… elle déposa un plateau sur mes jambes, avec toutes ces petites chose que j’affectionne et qu’elle connais bien… des fritures, des fruits qu’elle avait coupés délicatement… et un autre jus d’orange dont je devine l’arrière goût. Elle me prend doucement les bras et me met les mains de chaque côté du plateau en disant : « si tu salis les draps, tu les nettoieras ma chérie ». La fermeté de son propos m’étonna un peu, mais je me laissais faire et fis de l’équilibre du plateau un vrai souci…
Avec un cure-dents elle prit une tranche de tomate qu’elle porta à ma bouche, puis deux autres suivirent, une quatrième vient se loger sur ma poitrine.
Marjana se fâche et m’ordonne de manger ça vite en appuyant sur ma nuque…ce qu’elle acheva en léchant elle-même mes seins… comme je commençais à trembler, elle me pinça une oreille et me rappela que ce sera à moi de nettoyer… je lui souris, et fus très attentive pour la suite du repas. Pour le reste, je fus servie par sa bouche, ses dents servant de fourchette, et ses lèvres de serviette. Le jus d’orange transita aussi par sa bouche qui ne m’en laissa que la moitié.

Elle enleva enfin le plateau et libéra mes jambes que j’ai très vite pliées. Revenant près de moi, elle alluma une cigarette et me refila une fois sur deux la fumée dans un doux baiser. Elle se retourne pour éteindre la cigarette qui nous fut commune. En se tournant vers moi, elle me caresse les joues avec ses deux pouces qui tracent doucement le trajet allant du bout de mon nez à chacune de mes oreilles. Ses autres doigts caressèrent ma nuque très lentement avant de me faire frémir en frôlant l’arrière de mes oreilles. J’avais fermé les yeux, et inconsciemment posé mes mains sur ma toison. C’est alors que je la sentis me les serrer en disant:
« Cette pudeur ne te convient pas, petite coquine, ne joues plus la bourgeoise avec moi… demain, tu auras ton chéri, et vive la comédie.»
Je lui aurais demandé ce qu’elle en savait, mais elle souda très vite ses lèvres contre les miennes en tenant bien mes oreilles. Sa langue investit ma bouche en frétillant si énergiquement que je ne sus ni la suivre, ni l’aspirer. Et pour être moins passive, je fis quand même l’effort de relever mes mains vers sa tête que je serrai contre ma bouche en caressant ses cheveux de manière désordonnée.

Sa langue fouille ma bouche et rencontre la mienne. Le contact est vraiment génial. J’ai l’impression que je redécouvre l’amour. J’ai envie de happer sa langue, de jouer encore et encore avec elle. De la faire passer sur mes lèvres puis de la sentir au fond de ma bouche, demandeuse, exigeante. J’ai envie de ne jamais arrêter, j’ai envie de l’embrasser encore et encore.
Sa bouche descend le long de mon cou et me fait quelques petits bisous taquins par-ci par-là puis me mordille l’oreille. Je frissonne de désir. J’ai toujours mes mains sur elle, mais elles commencent à descendre à présent. Je sens ses épaules et descends jusqu’à ses seins. Ils sont libres de tout soutien-gorge. Je n’avais pas fait attention, mais elle portait une robe que je lui avais laissé l’an dernier et que je ne l’avais encore jamais vue porter… j’avais pensé qu’elle la porterait avec une chemise ou un tee-shirt, mais pour ce moment, elle est superbe.

En caressant sa poitrine, je me délecte de la douceur de sa peau, mais son corsage reste trop serré pour me permettre d’atteindre ses monts de Vénus que je supposai érigés. Pour arriver vite à leurs sommets, je m’y attaque à travers l’étoffe, pour me rendre que au toucher que leurs pointes étaient bien turgescentes. Ne pouvant résister plus longtemps, je fis glisser la fermeture éclair qui atteint le niveau de sa taille.
En remontant ma main pour faire glisser ses bretelles, je caresse doucement son dos. C’est alors qu’elle me surprend par un petit cri et une contorsion qui en disent beaucoup sur la sensibilité de son dos.
Je ne pense plus à ses bretelles que je n’envisage plus de baisser moi-même… Ne serait-il pas mieux de la pousser à le faire elle-même en l’excitant encore plus. Je continue d’explorer son dos et ses hanches pour découvrir une sensibilité que je n’aurais jamais soupçonnée aussi généralisée sur son dos. Tant sur sa nuque que sur sa ceinture, la moindre caresse la fait se contorsionner et crier. Mais c’est quand j’approche un doigt de sa fente qu’elle ne tient plus… Laissant mes oreilles et mon visage, elle se lève rapidement, fait passer les bretelles de la robe qui se retrouve à ses pieds.
Du coup, elle me présente fièrement des seins fermes, plus volumineux que les miens, et moins bronzés. Et comme pour m’exciter au maximum, elle se caresse gracieusement les hanches en se cambrant légèrement, poussant son pubis vers moi. Instinctivement, je me lève en retirant mon peignoir et m’envole vers ce corps voluptueux. Elle me sourit d’une manière coquine en se léchant les lèvres. Pour éviter son emprise que je sentais venir, je me place derrière elle, lui prends les seins et mordille sa nuque. Elle soupira et se laissa faire, je murmurai à son oreille :
« Si je t’avais su si belle et si sensible, il y a longtemps que je t’aurais « violée », mais c’est peut-être mieux ainsi ma chérie.
- je suis toute à toi, fais de moi ce qui te plaira, tu es la maîtresse… fesses moi si tu veux, je le mérite, dit-elle en posant sa tête sur le lit
- tu le mérites ? Dis que tu le désires coquine dis-je en caressant sa taille et le haut de sa fente…
- mais je le mérite aussi, excuses moi madame
Sentant qu’elle en avait vraiment envie, j’entrais dans son jeu en lui infligeant un coup sec sur les deux fesses…
- Qu’est ce que tu as fait ?
Pour toute réponse, je n’entends qu’un soupir témoignant de son plaisir… ses fesses étaient plus belle en rougissant, et quand j’ai constaté qu’elle ruisselait, je mouillai deux doigts que j’introduis dans son rectum, tout en continuant à lui pincer les fesses et la taille… Quand je la sentis au sommet de la jouissance, je la fis asseoir sur le lit et me mis à caresser ses seins et à les mordiller.
Puis en caressant entre ses seins, en y passant la langue je la sentis palpiter puis soupirer.
-je crois qu’on a déjà visité cette fente, petite salope ? Et tu as aimé je parie
-non, répondit-elle en rougissant, il m’a e, je te le jure…
Je léchai longuement son entre seins en y laissant beaucoup de salive avant de les joindre et de passer mes doigts entre eux. Comme par réflexe, elle baissa la tête et en suça l’extrémité…
-alors, tu vois que tu aimes, et tu le fais souvent…
-je te jure qu’il me force, et me menace de me chasser…
Ayant compris qu’elle parlait de mon mari, je l’embrasse très fougueusement en la tenant par les oreilles avant de l’attirer vers mon sexe qu’elle embrassa de manière très experte me portant sensuellement vers la jouissance…
A suivre...

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